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Pastafarisme Marseilais
Pastafarisme Marseilais
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27 janvier 2012

Traduction

 Récemment, nous avons vainement tenté de convaincre le Wiki francophone d'inclure que " de savoir si le pastafarianism était de nature religieuse restait une question ouverte" : La société française étant à 64 % Agnostico-athée, ça semblait une ouverture possible.

 Wiki n'étant pas des rigolos, nous avons donc adopté un profil des plus dogmatiquement sérieux... c'est difficile pour des adeptes du non dogme.

 Deux abords possibles : La théologie et la sociologie.

 Nous avons très vite laissé tombé la théologie. Parce qu'une théologie expose les principes des dogmes religieux qui peuvent être n'importe quoi : C'est une auto justification autistique de toute religion par elle même. Après ce n'est qu'une joute oratoire entre congrégations opposées, pour savoir qui représente le mieux la bonne vision mystique du monde : Et on est pas sorti de l'auberge, surtout si on commence à boire de la bière.

 Bref, nous avons opté pour l'angle des sciences humaines, vu ce que le Monstre en fait : anthropologie, sociologie, psychologie et autres aspects juridiques et historiques.

 Pour ce qui est de la science notre congrégation du "juste renouveau fondamentaliste pastafarien" sait bien que la science n'est qu'une illusion par Toucher Nouilleux... Mais nous considérons que si le Monstre s'est donné la peine de modifier le résultat des expériences scientifiques, c'est que cela correspond à Ses Desseins Inintelligents, dont la profondeur (dans le sens de creux) nous échappe. Et qu'il convient donc de prendre ces résultats au pied de la lettre, car Consacrés comme pure Création Divine par Son Toucher aussi Sage que Chafouin... Donc respect absolu.

 Ramen.

 Comment les sciences humaines définissent donc le fait religieux ?

 Nous nous sommes appuyés sur les travaux d'Emile Durkheim en la matière, qui a défini les fondements de la sociologie moderne, et par elle ce qu'était la réelle nature de la religion dans son ouvrage majeur "les formes élémentaires de la vie religieuse" (1912).

 Résumé : Durkheim a étudié la religion dans les cultures primitives, tout simplement parce que cette étude mené dans le cadre restreint d'une peuplade restreinte, isolée du monde depuis des siècles, permettait une étude exhaustive de toutes les interactions entre cette micro-société et sa religion : Impossible dans les sociétés pléthoriques modernes. De plus ni le chercheur, ni ceux à qui il livre le résultat de ces recherches ne sont impliqués dans ces faits religieux "étrangers".

 Qu'en a-t-il conclu ?

 Que la religion avait pour fonction de former toute communauté. Non pas la cimenter, mais bien la créer en elle-même.

  1. Il lui faut en cela un totem (un animal, le soleil, la pluie, une ou plusieurs déités, etc.) que tous reconnaissent pour sacré. Ceci dit, cela n'inclut pas que tous abondent dans tous les aspects de sa théologie, ni même qu'ils y croient fermement... Du moment que les rituels religieux fassent lien pour la communauté, cela suffit.
  2. Il faut des rituels réguliers pour entretenir le lien social en provocant une exaltation commune envers le totem. Cet aspect est important.

 Comment dire ? Lors de ces séances d'exaltation commune, les individus fusionnent avec leur totem. Cette fusion individuelle se faisant collectivement, les individus isolés fusionnent par cette "mana" en un tout collectif, et se transforment ainsi en membre d'une communauté réunie autour de son totem. Le religieux est ainsi l'expression de la société à vouloir exister en elle même.

 Durkheim en conclut qu'il n'existe pas de communauté sans rituels de religieux de ce type : Sans religion pas de communauté possible.

 Ceci dit, ces rituels de type religieux ne font pas toujours explicitement référence à ce que nous avons l'habitude de penser comme religieux.

 Ainsi une équipe sportive d'une cité fait lien social pour la communauté. Le totem c'est l'équipe des dieux du stades, symbolisée par les couleurs de l'équipe. Les supporters vont aux grandes messes rituelles que sont les matchs, pour y communier ensemble dans une exaltation collective. Ce faisant ils forment la communauté des supporters, mais qui dépasse le simple cadre des supporters : Lorsque l'équipe gagne, la ferveur des supporters se communique à l'ensemble de la cité qui plane alors sur son petit nuage, sur lequel sont embarqués même ceux qui ne souscrivent pas au culte de l'équipe.

 Autre exemple : Le culte de la nation, avec pour totem le drapeau. Tout y est sacralisé, on le magnifie, le respecte, le vénère en maints occasions, fondant une communauté, et accessoirement le sport est mis à contribution dans ce culte. Dans les sociétés modernes, il y a de nombreux cultes intriqués les uns aux autres. Le culte des idoles de la chanson et du cinéma, du parti politique que l'on soutient, de la danse country, des Fords Mustangs et autres Harleys, de la nature, etc.

 Alors bien évidemment, les religions surfent sur ce modus operandi, mais il est réducteur de cantonner la mystique fondatrice à la seule religion.

 Aussi, le rationalisme, l'athéisme peuvent-il se classer dans les phénomènes de type religieux. Tout symposium, publication scientifique, colloque en est une sorte de messe rituelle en qui chacun se reconnait déférer en une ferveur pour la raison omnipotente, formant communauté de rationalistes. L'expérimentation scientifique répond elle-même à une ritualisation de ses pratiques.

 Aussi le rituel ne se situe pas seulement où on l'attend. La messe du dimanche est importante en soi, mais tout autant les papotages et ragots rituels à la sortie de la messe pour cimenter la communauté. Aller au match est important pour les supporters, mais tout autant de commenter le match le lendemain entre eux. De même les croyants prolongeront leurs rituels par des fêtes caritatives, ou de patronages.

 Alors le pastafarianism a-t-il une nature de type religieux ?

 C'est une communauté, et il n'y a pas de communauté sans fait religieux fondateur. Il n'y a pas à chercher plus loin. Quand à savoir s'ils sont capables d'exaltation collective, il n'y a qu'à voir leurs réactions lorsqu'un de leur champion, Niko Alm, marque un but, ou devant la simple évocation d'une plâtrée de Pâtes.

 Ceci dit, le pastafarianism c'est quand même autre chose qu'une équipe de sport, c'est, en vérité, le mètre étalon de tout fait spirituel. Mais ça, il ne faut pas trop le dire. Religion rime avec susceptibilité trop souvent.

 Qu'en dit le prophète ? (Voir sa page "about" ou la page "du sérieux sous les pâtes")

 On dirait du copié-collé de Durkheim. Les esprits simples diraient qu'il en a été inspiré, mais ce serait oublier que le Monstre avait déjà remanié les résultats des conclusions de Durkheim par Noodly Touch auparavant, et que tout ceci n'est que la quintessence de Sa Divine Pensée.

 Au sens où l'anthropologie ne sait si elle travaille à la préservation ou à la transformation des cultures qu'elle étudie , on peut dire que la sociologie fait de même dans l'étude du social : le Pastafarianism sera-t-il la première religion ne se fondant pas tant sur sa théologie (mais aussi) que sur la définition sociologique historique et anthropologique d'une religion ? La première religion post-sociologique en somme.

 


 Pas de communauté sociale sans processus religieux à l'origine

 Ou 2. Vers une nouvelle mystique

 Jusqu'à présent, toute communauté se fondait donc sur des Valeurs Sacralisées dans lesquelles elle abondait, fusse-t-elles profanes telles la raison et la science. En ce sens, l'athéisme " fonctionne " exactement comme n'importe quelle religion, basé sur des croyances envers des Valeurs Sacrées, vécues comme telles, même si non revendiquées en tant que telles.

 Or donc il n'existait que deux façons d'investir le Sacré qui fonde la communauté, fusse-t-il profane :

  1.  La croyance absolue envers les dogmes.
  2. Le doute sur la valeur absolue de ces dogmes à travers l'agnosticisme, mais qui perdure comme croyance à défaut de trouver mieux dans l'avenir.

 La plupart des pastafarians sont évidemment dans le premier cas de figure, mais certains dans le second. Mais le prophète et les Maîtres Pasta les plus purs ont entrouvert une troisième voie :

 La quasi certitude du doute sur les valeurs Sacrées : On se devrait, par pureté absolue de sa Foi et si on veut bien y abonder, d'investir les dogmes sans y croire une seule seconde. Et il faut une grande pureté en cela : La plupart y croient toujours au moins un petit peu.

 Il s'agirait d'investir un Totem, le FSM, en sachant pertinemment qu'IL est faux : De grands débats théologiques agitent encore la communauté Pastafari pour savoir ce qu'il en est précisément de Sa Réalité Intrinsèque.

 Le paradoxe en est tout de même que cet investissement par l'absurde fonctionne quand même comme s'il s'agissait du Dieu de l'absurdité du panthéon grec (on en a retrouvé la trace). De l'absurdité, mais Dieu à part entière quand même, et vénéré comme tel, et ayant la même fonction sociale que tous les autres Dieux d'après les plus doctes sociologues : Celui de fonder une communauté.

 Ceci dit le Pastafarianism ne l'a pas inventé, Santa Claus est le premier avatar de Notre Monstruosité Planante, sans oublier la Licorne et autres Dieux grecs... Du coté sportif et artistique, ça s'en rapproche aussi : certains fans investissent leurs Dieux en admettant pertinemment que ces idoles n'ont rien de sacré au fond, mais ça ne les empêchent pas de les investir pleinement. C'est juste que le Pastafarian le ferait en le revendiquant d'emblée, alors que cette évidence est plus diffuse souvent ailleurs.

 Cette nouvelle mystique s'instaure et se revendique désormais clairement en lui, plutôt que de se vivre à l'emporte pièces sans théologie précise. Bref, un faux totem, et vécu comme tel, aurait la même valeur, et fonction fondatrice d'une communauté, qu'un vrai : Intéressantes perspectives pour l'humanité qui n'aurait plus besoin de croire que ses croyances fondatrices soient tenues pour vraies pour exister comme jusqu'alors.

 Un principe Pasta stipule que : "la logique c'est simple, c'est de penser à une bêtise et de faire exactement le contraire". Ce qui reviendrait à fixer l'absurdité humaine dans des valeurs et une figure totemique absurde, pour dire qu'on ne sait où sont le bon totem et les bonnes valeurs, mais en tout cas pas là : Il faudrait chercher ailleurs. Au total, ce serait un anti totem qui ne dirait pas tant comment investir le sacré, mais au moins comment éviter de l'investir de façon absurde, Mais en investissant cette absurdité pour mieux sagement et/ou rationnellement investir le reste par ailleurs.

 Ce qui est une base d'investissement pas si absurde que ça finalement, parce qu'un absurde moins absurde que l'absurde, qui indique comment fuir l'absurde en l'investissant, c'est Sacrément Divin comme concept : à Sacraliser tout de suite.

Dans l'illusoire combat manichéen du bien contre le mal, la religion inventa le diable : A défaut de définir le bien d'emblée, la tentation (de St Antoine) s'est faite de définir le mal absolu pour mieux définir ce que serait le bien qui ne serait que le tout expurgé du mal.

Le Pastafarianism serait en sorte une sorte de Diabolisation du mal en matière religieuse : Voila ce qui est absurde et folie en matière de religion, la raison en matière religieuse s'apparenterait donc à la religion expurgée de cette folie et absurdité. Sauf que le Monstre ne diabolise pas totalement la religion. L'aurait-t-IL voulu, IL se serait fait Diable à part entière : Un vrai Monstre diabolique avec tout ce que cela comporte d'atrocités ostraciques pour dire en sorte : "La religion c'est celà : Une pure folie bête et méchante".

Non ! Le Monstre est sympathique... inconsistant, cahotique, absurde (quoi que ?), mais sympathique au fond : IL est seulement in-crédible malgré toute sa bonne volonté. Ce n'est pas le mal absolu qui définirait par défaut le bien en matière religieuse comme le diable, ce n'est que l'illustration des dérives absurdes du fait religieux, et non une condamnation pure et dure du fait lui-même. En sorte la religion, y compris en matière "profane sacralisée", serait sympatique au fond, mais gangrénée qu'absurdités dont il faudrait nous prémunir.

Fait pour valoir ce que de droit...      Râmen.


 3. Le Sacré se cache donc partout

 si l'on veut bien suivre le Monstrueux Durkheim dans ses conclusions.

 Ce qui éclaire les perspectives et dérives possibles du Pastafarianism.

 Comme nous l'avons vu l'athéisme serait une sorte de religion qui ne dit pas son nom.

 Question folies et absurdités, on observe souvent un dialogue de sourd entre croyants et athées. Les athées reprochant les guerres de religions et inquisitions aux croyants, qui leur rétorque que les révolutions françaises et sovietiques menées au nom de la raison sont du même ordre, et que donc ce serait plus la nature humaine qui serait en cause, et non la religion dans ces folies collectives.

 Sauf que si l'on suit Durkheim, les cultes révolutionaires seraient de natures religieuses. Ainsi dans tout totalitarisme, la croyance absolue envers les Dogmes Sacralisés du régime est totalement similaire aux déférences envers des dogmes religieux. D'ailleurs en général, ces régimes s'appuient sur un " culte " de la personnalité de leur fondateur, quasi prophète de leur idéologie quasi mystique : les Aryens, le paradis prolétarien, etc. )

 Bref, les folies et absurdités de ces régimes seraient à mettre sur le compte sur leurs caractéristiques quasi religieuses. Et opposer absurdités religieuses et dérives totalitaires n'a pas de sens, puisque leurs ressorts sont les mêmes : Des croyances en des dogmes absolus ainsi sacralisés.

 C'est la sacralisation des valeurs des communautés qui est en cause, que se soit de nature religieuse ou profane.

 Mais là, on ne sort pas d'un cercle vicieux. Durkheim démontre que les communautés humaines ne peuvent se former que sur la base de Valeurs sacralisées... Donc à moins de refuser de vivre en communauté, nous serions condamnés aux absurdités sacralisées, donc impossible à dogmatiser.

 Mais y aurait-il moyen de trouver quelques valeurs sacrées impossible à sacraliser, au sens où elles pourraient être reconnues par tous comme valeur commune fondatrice de la communauté, mais qui pourraient être blasphémées de part leur nature intrinsèque.

 L'humour, cher au Pastafarianism, par exemple : Si l'on devait déclarer que l'humour était une valeur que l'on devait absolument respecter en tant que valeur sacrée, resterait toujours la possibilité de l'attaquer par l'humour même, personne ne pouvant alors condamner cet acte sacré en soi. De même, l'art, la culture, etc. ...

 Bref, des valeurs comme l'humanisme, la tolérance, etc., qui auraient du mal à servir de base à de quelconques atrocités. Sauf que l'amour du prochain, la miséricorde, n'empêchèrent ni guerres religieuses, ni inquisitions ou chasses aux sorcières, ni la fraternité chère à la révolution française de couper des têtes, ni les crimes contre l'humanité de punir de la peine de mort (quoi que le tribunal international se l'interdit désormais - imaginons qu'on requalifie la peine de mort, comme crime contre l'humanité, faudrait-il condamner à mort les hommes politiques y ayant recours ? On sent bien l'oximore ici). Où l'on vit que le combat contre l'oppression finissait souvent par copier l'oppression, dans le Mac-Carthisme par exemple, ou à Guantanamo.

L'approche du religieux par le coté profane éclaire ainsi d'un jour nouveau la Lutte contre les folies et absurdités religieuses en englobant le "profane sacralisé" dedans.

 Mais aussi tout dé-sacraliser reviendrait donc anihiler tout lien social (sauf à trouver des valeurs sacrées in-sacralisables encore). Imaginons qu'on ne voue plus de culte à l'amour, la nature, la démocratie, la nation, Elvis, le foot, la télé, les Harleys, et Humfrey (le Hamster de ma voisine). Cela signifierait enlever toute saveur à la vie, sauf à les investir avec le même sérieux que Notre Monstruosité Intersidérale : C'est idiot, nous le savons, mais nous y abondons avec plaisir et recul humoristique. Alors plutôt que de fustiger les adeptes des autres religions, du sport, de la politique ou de la télé, invitons les plutôt à investir leur culte de façon décalé et humoristique.

 Râmen

 


 4. Folie et absurdité religieuse

 (y compris profane)

 Qu'est-ce qui induit la folie collective donc ? (là c'est plus du Durkheim)

 La fonction religieuse est donc de former communauté. Lorsqu'une crise de société se fait jour, son angoisse première est donc celle de sa néantisation par émiettement, déliquescence. La fonction première de la religion est de préserver la cohésion sociale, mais au dela préserver la communauté de tout ce qui pourrait la détruire dans l'absolu. Aussi dès qu'une crise menace la société, l'interprétation en est que la religion ne joue plus son rôle protecteur.

 Une crise mineure donnera à penser que la collectivité n'est pas assez pieuse envers ses cultes pour que ceux-ci joue leur rôle protecteur, et induira par là un regain de dogmatisme religieux.

 Mais une crise mageure donnera à penser que ce sont les Totems eux-même qui sont mauvais et qu'il faut les remplacer par de meilleurs.

 Peu importe les causes aussi, catastrophe naturelle, crise économique, crise de croisance menaçant les équilibres antérieurs, menace d'asservissement par un peuple voisin, etc., du moment que la protection illusoire ne joue plus son rôle supposé.

 La mort y joue en général un rôle de premier plan, mais en tant que métaphore de la néantisation de la communauté.

 La menace identifiée ne sera souvent pas rationnelle en terme de cause réelle qui pèse sur la société, mais plutôt comme consécutive à une perte de ferveur mystique envers les valeurs sacrées fondant la communauté (y compris laïques).

 Aussi les personnes peu dévotes envers les cultes majoritaires seront-elles les premières à être désignées comme boucs émissaires * : Notamment les personnes qui sont étrangères à ces cultes. Leur manque de participation au culte les désignent en premier comme responsables de la menace de délitement de la communauté fondé autour des cultes. Aussi les cultes tendront à se réunir dans un tout plus cohérent dans son unicité (passage au monothéisme par exemple). En fait une société en bonne santé se caractérise par la multiplicité des cultes, car ne se sentant alors menacée en elle même par la diversité de pensée ; qui amène le progrès par la diversité des approches des problèmes concrets et leur confrontation. Une société menacée évoluera au contraire vers une pensée unique resserrée autour d'un culte plus dogmatique et univoque, qui induit généralement une sclérose accrue de cette dernière, agravant la situation.

 * On lira avec intérêt l'étude de René Girard dans son ouvrage "La violence et le sacré" ou son résumé "Le bouc émissaire" aux éditions du Seuil.

 Ainsi l'Empire Romain en pleine déliquescence passera-t-il du polythéisme au catholicisme initiant le lent déclin moyenageux, et le fondamentalisme musulman induit par les croisades et invasions mongoles marquera la fin de la grande période classique si prolifique.

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